dimanche 26 juin 2016



L'exposition "tous pareils, tous différents" a pris place cette semaine. 

C'est l'occasion de féliciter les enfants de l'atelier photo pour leur investissement et leur sérieux. 

Merci au service culturel de la mairie de Rillieux pour les impressions en grand format, 

à la patience des enfants qui ont servi de modèle, 

aux maîtres, maîtresses et enfants qui ont remonté les manches lors de l'exposition 

et enfin aux spectateurs qui ont bravé la chaleur.  





Merci Daniel pour ce magnifique défilé aux couleurs du Brésil.
La batucada de Rillieux en ce jour de la fête de la musique.


 
Le 21 juin 2016 nous avons défilé dans les rues de Rillieux-la-Pape tout l'après midi . Après avoir joué de la musique , nous sommes partis à l'espace Baudelaire. Il y avait des musiciens qui chantaient sur la scène.


dimanche 19 juin 2016

Spectacle - les souvenirs de Poucet - classe des CM2

spectacle du petit poucet - classe des CP

Répétition générale





 
Photo de Enzo qui ne supporte pas la lumière . Enzo se protège les yeux de la lumière avec ses mains d' oiseau.
 
C'est la préparation du théatre pour les parents, pour qu'ils soient fiers de leur enfant. On s'est entraîné depuis 4 moi. On a répété sérieusement pour le spectacle jusqu'au 17 juin pour faire la surprise à nos parents.



lundi 13 juin 2016

Théâtre - les souvenirs du petit poucet - extraits

les passants de Daumier




Alice



La nuit tombait,  il faisait sombre, très noir . Je devais partir chez mes grands-parents car je n'avais pas les clés de ma maison. J’étais obligé de passer par un chemin le plus effrayant de ma ville «Le Cimetière » C'est ici , là, tous les jours j'avais peur . Mais je suis quand même allé …  Soudain ! Je me suis arrêté, mon cœur battait si fort que mes yeux n'arrivaient  plus à se refermer . Il y avait du brouillard et de la fumée. Quand soudain  je me suis retourné j'ai aperçu une silhouette blanche très net … C'était une petite fille ! Je me suis approché,  petit à petit. Je la suivait  et elle m’emmenait vers sa tombe. Je la regardais , elle me montrais  du doigt « Juliette Marita 1985-1989» Mais c'est moi !! Je sursauta et j’eus des frisson dans le dos .. Quand j'ai découvert que c’était Moi même j’ai failli tomber dans les pommes , mais je me suis retenue . Alors j'ai décidait  de partir et de ne plus revenir dans ce cimetière qui semblait  Hanté …

                                                                                                             

Khalil




Je passais devant un cimetière pour me rendre chez ma tante.  D'habitude j'allais avec mon père et  ma mère en carrosse mais là je ne pouvais pas car on devait passer sur la route. Soudain une main sortit du cimetière et m’attrapa .J’étais très inquiet. Dessus la brume, des yeux s’ouvraient t avec des regards agressifs. J'ai couru vers la sortie et tout d'un coup quelqu'un ferma le portail. Il me menaça un couteau, les poings serrés. Ils m’entourèrent et s’approchèrent de moi. L’un deux avait les jambes ouvertes. Derrière un trou menait à la sortie. J’ai glissé sous ses jambes, j’ai couru et je suis arrivé sur la tombe de mon grand-père.


Benryene




Je me promenais dans la forêt qui était recouverte par le brouillard. La nuit était sombre. Un loup hurla tellement fort que je tremblai de peur. Alors je me suis caché dans un buisson. Derrière moi, j’aperçus comme des yeux agressifs et froncés. J'ai couru très vite. J'avais l'impression d'être suivi. Je me suis caché dans une maison abandonnée.


Canan


C’était le  15 mars en 1953 quand je partais à l’école  et comme tous les matins, je passais devant le  cimetière qui était  toujours calme. Mais ce matin c’était différent il y avait du brouillard et des hommes habillés en noir,  toute en noir. J’avais très peur et là, j' ai  vu une femme  qui se cachait derrière une tombe. J'ai eu peur  de lui  demander ce qui se passait car elle était toute blanche. J’avais l’impression que c’était une âme. J'ai entendu un bruit bizarre et en plus je ne voyais rien à cause de la brume. Je  courais si vite que je suis tombé eu pied  d'un homme. J'ai levé la tête et  j'ai vu   cette silhouette effrayante. J'ai couru  mais  toutes les portes du cimetière se fermèrent d'un coup. Je n'avais plus  le temps   de partir.  Et  là,  j'ai vu une porte au loin. Je marchais vers la porte et là, j'entendis un bruit étrange. Je me retournai, quelqu'un poursuivait. J'ai crié de toutes mes forces mais personne ne vint m'aider. 


Emna



Il y a très longtemps mes amis et moi nous sommes partis dans une forêt sombre. Ensuite on s’est arrêté puis tout à coup on entendit un grincement. Mon ami Victor avait vu une silhouette. Nous l'avons suivi et on s’est retrouvé devant un cimetière. Il y avait  du vent et du brouillard puis on est rentré. Je tremblais de peur, on marchait de plus en plus. J'ai vu quelqu’un et  j'ai cru qu’il me suivait. J'avais très peur mais en fait  c’était ma mère qui nous cherchait.


Farès



J’étais au péri-scolaire. Je sortais de l'école. Je devais rentrer chez moi en passant par un cimetière.
Je n'ai pas eu le temps de faire mon 1er pas quand  j'ai vu une silhouette bougée. Les buissons bougeaient mais c'était que le début.


Fatima

Je marchais tranquillement  dans une ruelle soudain  j'ai entendu des bruits bizarres. La nuit tombait et j’avais très peur. Plus j'avançais, plus le brouillard me bloquait. Les buissons  faisaient du bruit des choses vacillaient toutes seules derrière moi. Ça me faisait peur. Je voyais des silhouettes qui bougeaient. Je couru mais je vis rien. Je ressentais  de la menace. Je courais de toutes mes forces mais la brume m’entourait. Des portes claquaient et grinçaient. La ruelle était beaucoup trop longue toute était noirâtres. L’orage  l’éclairait. Ca me faisait très peur,  j’avais des frissons dans le corps.                                                                                                                                                                                                                                                                                                   


Imen



Je me promenais dans un quartier désert quand il faisait froid et sombre , le brouillard était épais et j'avais très peur de passer devant le cimetière . Des personnes bizarres m'angoissaient ! Ils étaient habillés en noir . Le ciel était gris et légèrement bleu .  



 Inès

C’était un jour très nuageux je suis passée devant un cimetière j'avais très peur. Il pleuvait ,le vent fouettait les branches des arbres . La nuit tombait et il n’y avait pas un chat dehors . J’étais seule j'avais comme une impression que quelqu'un m'espionnait et que j'étais suivi . La peur au ventre m'a fait fuir à toute allure. Je transpirais et mon cœur battait très fort .Je me retournais sans arrêt ! J'ai vu qu'il n'y avait personne. Ouf! J’était sauvée !



Léandre



C'était la nuit tombée et  je devais passer devant le cimetière. J'avais peur de passer devant alors j'ai couru. Il faisait froid, je voyais plein de silhouettes. Ça me faisait très peur mais la boulangerie était encore loin. Quand je suis passé devant le cimetière, une porte s'est ouverte toute seule. Je me suis tourné: c'est là que j'ai vu une grande silhouette avec un chapeau pointue. J'ai ai couru, elle me poursuivait. J'ai atterri devant la porte de la boulangerie. J'ai entendu un bruit bizarre. Alors, j'ai crié. La porte de la boulangerie s'est ouvert toute seule. Je suis entré. La boulangère m’a demandé ce que je voulais, j'ai acheté du pain et je suis sorti mais là…


Dayana



Le 3 juin 1843 vers 23h30 moi et mes parents nous sommes partis nous promener avant de dormir c'était  déjà la nuit. J'étais  avec mon vélo je suis partie vraiment loin et il y avait du brouillard, de la pluie, il faisait très froid et noir. Je me suis retourné et ne vit plus mes parents. Devant moi il y avait un grand cimetière. Soudain  une voix m’appela ce n'était pas mes parents.  Elle ressemblait à  la voix de ma grand-mère qui est morte il y a 2 mois à  peu près. J’étais très inquiète de la disparition de mes parents et ma petite sœur Jacqueline. Après  10 minutes de recherche je marchais er puis j’ai retrouvé la place où je les avais quitté. Je les vis sur la route avec plein de sang sur toute la poussette. Ma petite sœur était renversée.  Les voitures passaient pour regarde ce qui se passait. Il y avait beaucoup de pompiers et des policiers… Au début j'ai pas cru j'ai commencé à pleurer .
Quelques jours plus tard des dames sont venues me récupérer pour me mettre dans un internat. Tous les jours je passais devant ce cimetière pour me souvenir de mes parents et de ma petite sœur j’étais très triste.


Enzo M.


Je  me promenais  dans un  lieu  terrifiant. Je   me  sentais  poursuivi  par  un  vampire   qui  se transformait   en   chauve-souris volante   toute   en    noire. Je me promenais   devant  une    église effrayante.

Enzo V.

Un jour je rentrais de l'école. Il faisait froid et nuit. J’avais des frissons. Et cinq minutes plus tard je passais devant un cimetière. Puis j'ai entendu des voix. Je me sentais menacé.  Puis j’ai couru un moment. Et tout d'un coup une ombre me sauta dessus. Je hurlai de toutes mes forces puis j'ai pris mon courage à deux mains. Et j'ai poussé l'ombre et j’ai couru jusqu'à chez moi.

Hazar

J'étais terrifié à l'idée de me promener seul dans la rue, pendant la nuit. J'ai rencontré é Victor, mon voisin. Lui c'était enfuit de chez lui. Puis il continua sa route. Je m'aventurais sur un chemin tortueux. Petit à petit, j'entrais dans l'obscurité et le brouillard. Au loin, il y avait une petite fille habillée en blanc et je me suis posé toutes ces questions: « Qui est-ce ?  Est-elle réel ? Est-ce celle qui s’est enfui de chez elle? ». Mais pas de réponse. J'avais peur. Alors j'essayais de reculer mais la sortie était de plus en plus loin. Alors, j'avançais et là, ça marchait ! J'entrais dans une maison. Et là je vis mes parents avec ma tante. C'est à ce moment-là que je me suis rendu compte que c'était le fruit de mon imagination.



Paollo


J'étais  au parc, il était  18h piles et je devais rentrer  chez moi. Mais je vis une maison cassé,  je ne l'avais  jamais vue auparavant. Il y  avait  des chauves-souris  qui volaient  autour la  maison. Des statues de  gargouille étaient penchées comme si elles voulaient m'attaquer. Je suis entré dans cette  maison en frissonnant. Le vent soufflait comme  si je ne devais pas entrer dans ce logis abandonné mais  j'étais courageux. Et juste au fond du couloir, j'ai vu un miroir,  j'ai repensé à ces histoires de dame blanche. Et tout à coup je vis  une clé au sol. Il y avait une porte noire comme la clef. C'était  la bonne. Et derrière  la porte se trouvaient un  bocal plein de globes oculaires, des squelettes  et   des couteaux plein de sang.  J'avais de plus en plus peur. Mais une fois sorti,  je me suis rappelé  que c'était le soir d’Halloween. C’était  peut-être mon imagination car  les  gargouilles étaient redevenues  vertes.

        
Nafaye


Ce soir-là je sortais du collège, j'avais étaé coller à cause de mes retards et comme nous étions en hiver il faisait déjà nuit. Pour arriver plus vite à la maison j'ai décidé de passer par le manoir hanté. A partir du moment où je suis passé devant le porte, j'ai entendu des cris, des hurlements et des grincements horribles. J'ai eu tellement peur que je suis parti en courant. Quelques minutes plus tard, j'ai cru voir une silhouette derrière moi alors là  j'avais compris que quelqu'un me suivait. Donc j'ai couru le plus vite que j'ai pu. Et tout à coup, un loup sauta sur moi j'ai crié le plus fort. J'avais cru ce jour-là que c’était mon dernier jour dans ce monde. Pendant que je criais je fermais les yeux en croyant que le loup me mordait mais je ne sentais rien. Alors j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai ouvert les yeux. Et là, le loup était en train de faire des câlins il me léchait le visage. C'était un bébé trop mignon. Et depuis ce jour  je vais le voir tout le temps en sortant du collège.     



Ziene



Hier soir dans une rue très sombre on ne voyait presque rien et  il était 22h55. Des bâtiments étaient cassés, je me promenais avec mes amis et on est passé devant des personnes plus âgées. Ils nous faisaient   très peur parce qu’ ils avaient les sourcils froncés et ils étaient habillé en noir.  Des oiseaux jaillirent et on sursauta.  Alors on a couru chez nous



Saba



Un jour je  rentrai de l'école mais ma classe était en retard donc j'ai dû prendre le chemin le plus court car ma tante allait venir. Je ne devais pas être en retard. Puis tout à coup j'ai entendu un sifflement qui m'avait fait peur. Chaque pas que je faisais une porte claquait. Tout au loin je vis une silhouette blanche c’était une fille. Elle était blonde et pieds nus. Il faisait sombre très sombre. J'ai couru très vite. Quand je fus  fatigué de courir je me suis arrêté. Je ne voyais plus la dame je voulais faire un pas quand j’entendis un cri. Je vis  une porte où il y avait marqué « fait un dernier pas et ta mort sera brutalé ». Je me suis arrêté et je me suis retourné. Une fille pleurait, elle  avait des clés dans dans sa main . Elle se leva et me les donna : « je ne veux pas mourir ». J’ai pris les clés et j'ai ouvert la porte et là j'ai vu un cimetière sous mes yeux. Puis j'ai fait demi tour.  


Sahra


En rentrant il fallait que je me focalise sur mon devoir de littérature sinon je pouvais dire au revoir à ce voyage que je désirais tant ! Papa m'avait dit que si j'avais de bonnes notes, je pourrais enfin aller en Angleterre. J'étais sur la  bonne voie, j'avais réussi tous mes contrôles mais je ne m'attendais pas à en avoir un en littérature. Je décidais de me mettre au travail ! Je me suis assise confortablement dans le jardin et je me rappelais de la photo que j'avais vu dans le grenier et je pourrais m'en inspirer je décidais d'aller la chercher. Je la trouvais dans un vieil album de Grand-mère la prit et retournai m'asseoir pour  regarder cette photo. Je commençai à réfléchir à quelle date ceci  c'était passé.  1910 surement,  je croyais que j’avais trouvé mon sujet.  



Suna




Il y a très longtemps, j'étais dans une forêt sombre. Un bruit passa vers moi.Puis , j' entendais des enfants qui criaient et disaient « maman où est-tu? » j 'eus très peur. Je voulais mes parents, soudain je vis un dédale, un monsieur que je ne voyais pas, il me parlait :

- petite fille je te dis que tu dois trouver la sortie de cette labyrinthe puis, il est parti.
- Monsieur, monsieur mais il y a du brouillard je vois rien.

Il n'a pas répondu. Tout à coup le vent souffla vers moi pour me faire tomber dans un grand trou et dans ce trou, il y avait plusieurs d'enfants qui criaient. Je pleurais sans rien faire, je ne voulais plus vivre et j'étais sous la pluie.


mardi 7 juin 2016

défi électricité -

Le défi du jour : Réaliser un montage qui allume l'ampoule quand le livre s'ouvre et qui l'éteigne quand on le referme.

Bravo au groupe d'Imen et Rayan qui a réussi et aux autres qui les ont inspirés.




mardi 24 mai 2016

Noce chez le photographe

Moussa

Louise était tellement heureuse. Elle avait 20 ans à peine. Je m'ennuyais, assise sur ma chaise en bois. Puis mon cousin faisait trop de bêtises alors je l'ai attrapé et j'ai soufflé de la fumée sur ma tête. Ca m'agaçait d'attendre un temps interminable.

Canan


Louise était tellement heureuse elle avait à peine vingt ans le jour de son mariage . Nous sommes parti toute la famille chez le grand photographe Jean
Gautier . Ma petite fille portait sa robe magnifique avec des diamant qui brillais de mille feux . Je me disais que ma fille allait partir mais j'étais contente pour elle. J'étais inquiète car Jean n'était pas comme d'habitude, il était étrange . Mais je pensais que c'était l'inquiétude de se marier. Je le comprenais très bien, j'étais comme ça aussi. Les enfants derrière gênaient le photographe. C'est pour ça que mon beau fils souffla de la fumée de cigarette sur son fils. Cette journée se finit bien surtout pour Louise.




Hazar


C'était le plus beau jour de ma vie. J'épousais Louise, la femme de ma vie. Nous étions arrivés en calèche à 4 chevaux. On était entrés dans la salle: tous les regards étaient dirigés sur nous. Nous étions montés sur l'estrade, prêts à ne plus bouger pour prendre la photo. Margot, la nièce de Louise était stupéfaite par la grosse machine du photographe. Mon grand-père était tellement heureux qu'il en avait les larmes aux yeux. Mon oncle punissait mon cousin pour qu'il ne gâche pas la photo. Grâce à nos parents, ce mariage a été une réussite.



Enzo M.


A l'époque je n'avais que de rares clients et j'étais très heureux de photographier ce jeune

couple qui avait l'air très amoureux; la jeune fille serrait le bras de son fiancé et se collait

contre lui . Je pense que ce devait être la maman de la mariée qui était à ses pieds et qui

rangeait les plis de sa robe . Derrière le couple, le rideau rouge me faisait penser à un

théâtre à   gauche se tenait la famille qui me paraissait heureuse et tranquille

dommage que le soleil ne soit pas présent hier, la pièce manquait de lumière ! Ce n'était pas grave car

le couple semblait tellement heureux. Ils étaient beaux.




Léandre


A l’époque je n'avais que de rares clients . Je voyais que la mariée était heureuse mais le marié, son regard était le regard de quelqu'un qui n'aime pas trop sa femme, un regard foncé . J’étais soucieux du regard de l'homme . Les autres personnes ne regardaient pas tous , il y avait 4 personnes qui ne regardaient ailleurs . La femme mariée étaient habillée en blanc, l'homme en que de pie . J’étais heureux de pouvoir photographier deux mariés parce que je n'avais pas beaucoup de clients en tout cas pas assez de riches.


Nafaye



C'était le plus beau jour de ma vie. J'avais 20ans quand je me suis marié avec l'homme de mes rêve. Le jour du mariage il était très beau dans son costume en queue de pie avec son chapeau haut de forme. Je me sentais toute petite à côté de lui. J'étais tellement amoureuse et je le suis encore d'ailleurs. Je me vante devant mes amies d'avoir épouser un homme aussi droit. Enfin tout ça pour vous dire que ce jour là était le plus beau jour de là vie!



Alice


 l'époque je n'avais que de rares clients, comme des mariés ou des modèles. Un jour je devais photographier deux jeunes mariés. La mariée était si belle si généreuse … Le marié toujours droit , beau sérieux. Je n'arrivais pas bien à prendre des photos car un petit garçon derrière moi me faisait bouger, me gênait. Alors son père le punit en lui soufflant de la fumée à l'aide de sa pipe en bois . Moi je regardais dans le cadre , la mariée ne regardait pas l'appareil mais ailleurs.



Angel


A l'époque je n'avais que de rares clients. Un jour est arrivé un couple avec ses invités .
J'étais content parce que j'allais avoir de l'argent . Je voulais réussi ma photo mais un petit
m'arrêtait pas de faire le zigoto derrière mon dos donc le papa lui a soufflé de la fumée sur la figure. J'ai posé un rideau sur ma tête et je me suis concentré sur mon travail puis j'ai pris une photo. J’étais inquiet de ne pas la réussir.




Paollo




C’était le plus beau jour de de ma vie j avais épousé Laurine, la femme de ma vie .
Comme mes parents étaient fiers de moi! J'avais réussi à la séduire. Comme j'etais heureux !
J'avais tout dans ma vie. Grâce à la photo du mariage on pouvait leur montrer la preuve cet instant à nos enfants quand ils nous demanderaient de leur raconter l'histoire des noces encore et encore. A chaque fois que je sortais du travail, ils me sautaient dessus et voulaient que je raconte notre histoire. Alors je leur racontais notre mariage et après je leur montrais mon costume.


Emna



C' était l' année de mes 6 ans je m'en souviens très bien car c'était le mariage de ma tante .Pour ce jour-là ma mère m'avait acheté une robe à carreaux bleus et un chapeau de paille tressé.La robe de la mariée était toute blanche.Elle portait des gants,un petit gilet et un voile qui cachait ses cheveux.Le marier regardait le photographe et la mariée regardait ailleurs.Sa mère arrangeait la robe.Moi pendant ce temps là je m’ennuyais


Fatima


C’était l’année de mes 6 ans je me souviens très bien car c'était le mariage de tante Émilie avec Max d'Orville. Ils m'avaient choisi comme demoiselle d'honneur. Ma mère Aline m'avait donné une robe de couleur bleue et un chapeau paille avec un nœud papillon de même couleur. J'étais habillé tout en bleu. La mère de tante Emilie était en train d'arranger sa robe blanche couverte de diamants. Elle était magnifique et Max d'Orville portait un costume noir. Ils avaient l'air d'être très amoureux. Mais il y avait aussi le photographe qui prenait des photos. Mais on ne voyait pas son visage car il était caché sous un drap noir et il avait comme une machine pour prendre des photos. J'étais impressionnée.


Imen



C'était le plus beau jour de ma vie. Je me mariais avec l'homme de ma vie. Le photographe nous a pris en photo. Je portais ma longue robe blanche, brillante avec mon diadème de perles. Je serrais mon mari Jean d'Orville qui portait une queue de pie. Il levait la tête haute. Ma mère arrangeait la robe. Ma petite nièce était très contente que je me marie. J'étais inquiète et stressée. J'allais changer de vie. Mon mari paraissait détendu. Toute la famille, joyeuse, assistait à la prise de la photo.


Inès


A l’époque je n'avais que de rares clients car mon atelier était tout au bout de la ville . Mais un jour, des mariés sont venus pour que je photographie leur mariage . C’était le plus beau jour de leur vie . Leurs visages semblaient éclairés , ils étaient très joyeux . La mariée semblait intimidée par son mari . Il la serrait très fort contre lui . Son torse était avancé pour donner un air élégant . Son costume était une queue de pie noir il était muni d'un chapeau haut de forme.Les invités étaient habillés en noir , ils regardaient tous les mariées .



Khalil


A l’époque je n'avais que de rares clients. J' étais très heureux. J' allais faire ma troisième photo et me faire payer . Je vérifiais que les fils soient accrochés au bon endroit, je voulais que la photo soit bien faite. Cette famille était riche. La sœur de la mariée regardait ailleurs, la mère arrangeait les plis de la robe. Le petit garçon s'est fait projeté de la fumée de cigare par son père sur la tête, une petite fille avec une couronne poser sur sa tête, Ma tante était contente de son neveu . Le père du marié se tenait droit et regardait l’appareil photo il était fier de son fils . J'ai pris de très belles photos. Ils étaient heureux et je leur souhaitai une très belle vie .


Marie-Léonne


Aujourd'hui était un grand jour pour Louise et Thomas. C’était le jour de leur mariage , ils étaient très comptent de le déclarer a la mairie et a l'église. Tout le monde était présent même tante Céline qui s'était privée de ramener son chien avec elle. Cependant elle le surveillait par la fenêtre. La robe de la mariée était magnifique tout en dentelle blanche. Sa mère Jacqueline arrangeait sa robe avec concentration, elle voulait que sa fille soit la plus belle. Thomas regardait Louise avec amour il était le plus heureux des hommes. Le photographe arriva avec son grand appareil ,Les mariés prirent la pose et le photographe prit une photo inoubliable qui restera dans tout les coeurs.



Saba


C'était l'année de mes 6 ans je m'en souviens très bien c'était la première fois de ma vie que j'étais demoiselle d'honneur. Je regardais le photographe d'un air très bizarre. Je me demandais comment il faisait pour tenir si longtemps. Moi j'étais habillée avec une robe bleue, un chapeau de paille et un ruban bleu pour terminer le tout. Le marié avait l'air très sérieux et Lisa très amoureuse. On était dans une salle de théâtre. La maman de Lisa lui arrangeait sa robe blanche. Puis on les avait pris en photo, ils étaient très merveilleux.


Suna




C ' était l 'année de mes 6 ans je m' en souviens très bien car le mariage de ma tante était superbe .
Je m' ennuyais d'être debout en regardant le photographe qui photographiait ma tante et George .
La mère de ma tante arrangeait la robe bien droite. Le petit garçon embêtait le photographe et son père lui a soufflé de la fumée de cigare sur sa tête pour le punir .





Rayan


C’était l’année de mes 6 ans je m'en souviens très bien car j’étais présente. Le mariage a eu lieu le matin à l’église de Lyon. j’ai reçu un chapeau de paille avec un ruban bleu. Pendant le banquet nous avions mangé du poulet accompagné d’un gratin de pommes-de-terre à la crème. Nous nous sommes arrêtés un moment pour boire un peu d’eau. Ensuite nous avons dégusté de délicieux fromages et de magnifiques gâteaux. Nous étions partis à l’atelier du photographe. Le marié était droit et ma tante s’ appuyait sur lui pendant que ma grand-mère lui arrangeait la robe. 




Ziene


C’était le plus beau jour de ma vie car j'allais me marier avec l'homme de ma vie.

Tout d’abord je devais me rendre à la mairie avec mon mari. Après nous étions partis à l'église puis

dans les ateliers pour que le photographe nous prennent en photo pour avoir un souvenir de notre

mariage. Mon mari se tenait correctement et moi je regardais ailleurs. Je tenais très fort son bras.

Ma mère dépliait ma belle robe blanche. Quand elle dépliait ma robe je me disais dans ma tête

« quand le photographe arrive-t-il ? ». Il arriva et se présenta. Ma robe était mousseuse. Je me

sentais bien dedans.










Benryène.    





C 'était l'année de mes 6 ans je m'en souviens très bien car c 'était le mariage de ma tante. C'était la première fois que j'étais demoiselle d'honneur. Maman m'avait cousu une robe bleue et blanche. Ma tante était belle comme une princesse avec sa robe de mariage. Elle était vêtue de blanc et portait un voile léger et long.

Saba


C'était l'année de mes 6 ans je m'en souviens très bien c'était la première fois de ma vie que j'étais demoiselle d'honneur. Je regardais le photographe d'un air très bizarre. Je me demandais comment il faisait pour tenir si longtemps. Moi j'étais habillée avec une robe bleue, un chapeau de paille et un ruban bleu pour terminer le tout. Le marie avait l'air très sérieux et Lisa très amoureuse. On était dans une salle de théâtre. La maman de Lisa lui arrangeait sa robe blanche. Puis on les avait pris en photo, ils étaient très merveilleux.








mercredi 18 mai 2016

Un après-midi au Grand Lemps

Textes écrits à partir du tableau "Un après-midi au Grand Lemps" exposé au musée des Beaux-arts de Lyon


Un après-midi au Grand Lemps –

Benryene

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin. Ils aimaient se cacher dans les herbes caressantes et bronzer sur des serviettes chaudes. Parfois, le garçon finissait de compter jusqu’à 30 et cherchaient dans la cabane. Il n’y avait souvent personne. A la nuit tombée, il rentrait chez lui et il s’ennuyait parce qu’il aimait trop les parties de cache-cache. Il rêvait aux parfums des fleurs, au jus des pommes et le souffle du vent sur le sable.

Inès

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin. En été, tout était lumineux. Tous les fruits étaient juteux. C’est pour cela que les enfants aimaient bien en piquer quelques-uns bien chauds sous le soleil. Quand ils arrivaient devant leurs parents, ils leur demandaient si  ils avaient volé quelques pêches. C’était drôle ! Les enfants leur mentaient les yeux dans les yeux alors qu’ils avaient leurs maillots tâchés de jus de fruit.


Paollo

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin où les fleurs ne fanaient pas. La fraîcheur  leur permettait de jouer dans leur jardin où les roses diffusaient un parfum de bonheur, de joie et de douceur. Les fraises, les framboises et les autres fruits avaient poussé. Il était temps de se gaver de fruits juteux et savoureux. Les enfants avaient chauds. Ils digéraient avant de plonger dans leur piscine, dans cette fraîcheur intense. Ils jouaient à se lancer de l’eau et se rafraîchissaient. C’étaient les meilleurs étés en famille.


Farès

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin. Ils aimaient les grands sapins avec leur ombre fraîche. Ils se lançaient des défis comme grimper dans les grands arbres. Ils aimaient se toucher car sur leurs mains, ils avaient de la sève. Ils adoraient cueillir des roses et les offrir à leur maman.

Angel

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin de leur grand-mère. Leur odorat leur indiquait le chemin des cerisiers parfumés sans oublier les framboisiers. Souvent ils donnaient rendez-vous au pied des arbres et se gavaient de fruits veloutés. Dès que les enfants rentraient chez eux, leur papa leur demandait s’ils avaient mangé des fruits.

Moussa

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin. Sous le ciel brûlant, les enfants admiraient les braises qui crépitaient. Les enfants respiraient  le parfum des grillades. Ils dégustaient des sandwichs , la mayonnaise dégoulinait dans le pain frais. Ils caressaient le chien qui salivait. La piscine était sublime. Ils faisaient des plongeons , s’amusaient comme des enfants heureux, ils faisaient des parties de cache-cache dans les herbes ondulées.

Fatima

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin magnifique, silencieux avec des fleurs violettes. Les fruits parfumaient le jardin. Les enfants jouaient à cache-cache et frôlaient les fleurs et les grands arbres. Ils écoutaient les oiseaux chanter et découvraient les écureuils excités. Les fruits du jardin étaient délicieux et les légumes savoureux. Tous les jours, tous les mois, tous les ans, les enfants aimaient tant jouer dans cet endroit. La lumière se reflétait sur les flaques d’eau.  Après l’école, ils s’amusaient dans ce jardin.

Suna

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin magnifique. Ils aimaient planter des légumes avec ce délice et cette joie. Mon frère avait entendu des cris d’oiseaux, c’était gai, c’était merveilleux. Le ciel était tout bleu avec un grand soleil. Les fraises qui avaient poussé étaient croquantes, collantes et douces. Ils sentaient une fleur qui s’appelait l’hortensia et qui brillait. L’air était parfumé de fleurs. En hiver, ces enfants trouvèrent un lapin tout blanc qui avait une jambe cassée et ils l’examinèrent. Puis, ses parents le appelaient pour manger les légumes qui avaient poussé dans le jardin.

Emna

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin magnifique, immense et fleuri. Ce qu’ils aimaient par-dessus tout, c’était jouer à cache-cache. Dans ce jardin, il  y avait beaucoup de cachettes. Quand les enfants étaient fatigués, leurs grands-parents leur préparaient une tarte au citron. La tarte avait une odeur délicieuse. Les enfants la trouvaient  très bonne. Ensuite ils plongeaient dans la grande piscine bien froide. Chaque été, les enfants construisaient deux grandes cabanes, une pour les filles et l’autre pour les garçons. Le soir, les parents allumaient un barbecue. Ils sentaient l’odeur des merguez grillées puis ils s’endormaient dans leur cabane.


Dayana

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin. Il était très beau. Il y avait des fleurs avec un parfum intense. Chaque jour, Léo et Stéphanie récoltaient des bouquets de fleurs pour leur mère.

Ziène

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin. C’était celui de leur grand-mère. Ce qu’ils aimaient c’est qu’il était grand et ils pouvaient vivre plein d’aventures. Ils adoraient escalader les arbres.


Enzo V.

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin, si beau et si lumineux. Souvent le vent caressait l’herbe. Dans l’air, on sentait le parfum délicat des fleurs. Leurs parents leur ouvraient le trampoline quand ils étaient sages. Les enfants sautaient de joie et criaient très fort. Les parents préparaient amoureusement des gâteaux au chocolat. Les trois enfants sentaient le parfum du chocolat et couraient les manger.


Canan

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin. Cet après-midi, Sarah, Laura et leur petit frère
Thomas s’amusaient dans le jardin de leur grand-mère. Il y avait une cabane dans l’arbre et des jouets éparpillés sur la pelouse. Les enfants aimaient beaucoup jouer avec leur grand-mère, leur père et leur mère. Ils s’amusaient  à dauphin-dauphine et à la corde à sauter. Quand ils avaient fini ils se couchaient sur l’herbe et sentaient l’odeur des fleurs. Ils entendaient les oiseaux qui chantaient. Leur père préparait le casse-croûte. Après mangé, les enfants sautaient chacun leur tour dans la piscine mais Thomas avait peur de l’eau. C’est pourquoi il mettait des bouées. La fraîcheur de l’été, on entendait leurs cris qui montaient au ciel.


Imen

Les enfants adoraient jouer dans ce jardin. Tous les jours d’été, il y avait un soleil merveilleux. Quand il faisait chaud, ils jouaient à cache-cache. Il y avait des oiseaux qui chantaient et des fleurs roses dans l’ombre des arbres.


Suhaib


Les enfants adoraient jouer dans ce jardin. Ils jouaient souvent à soleil en faisant des statues bizarres, à se cacher derrière les arbres, à la balançoire en tombant et en rigolant. Chacun avait son jeu préféré où il gagnait souvent. Quand il pleuvait, ils s’éclaboussaient. Quand il neigeait, ils faisaient des bonhommes de neige. La nuit, ils s’allongeaient et regardaient les étoiles. 

dimanche 15 mai 2016

Musée des Beaux-Arts


Tableaux étudiés vus en vrai au musée des Beaux-Arts de Lyon



En production d'écrit, avec madame Antoine, nous avons travailler sur: comment analyser un tableau. Ce tableau nous servait pour notre 1ère analyse. Lors de la 1ère séance nous avons dit se que nous voyons et ressentons, pendant le 2ème séance nous avons écrit notre texte et à la 3ème séance, nous avons tapé sur les ordinateur de la salle informatique.
 



mardi 22 mars 2016

" Tous pareils, tous différents " - Sahra

Un groupe d'enfants travaille sur un projet tous les lundis de 15h45 à 17h. Leur projet consiste à montrer que tout le monde est pareil même si on est fille ou garçon, petit ou grand, noir ou blanc ... Une exposition aura lieu en fin d'année lors de la semaine des arts -

Mer agitée sur Etretat


Mer agitée sur Etretat de Claude Monet
L'aiguille et les falaises d'Etretat



Jihad



Les deux hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La colère de la mer fouettait dangereusement la falaise qui restait immobile. Le ciel tourmenté s’assombrissait. Les deux pêcheurs étaient terrifiés.



Khalil



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. Elle submergeait la belle plage. Les hommes effrayés avaient les yeux grands ouverts. L’eau était dangereuse, grise comme le ciel. La violence de la tempête était inimaginable. On sentait l’odeur mordante des algues. L’inquiétude des hommes devenait de plus en plus grande. Le vent rugissait, c’était épouvantable. La puissance frappait l’énorme falaise qui restait immobile comme une forteresse.



Enzo M.



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer était d’une telle violence que les vagues butaient contre les rochers. Les hommes basculaient de tous les côtés du bateau. Le courant les emportait vers les rochers et ils avaient de grosses difficultés à reprendre la bonne direction. Mais le courant était bien trop fort  et malheureusement le bateau heurta violemment le rocher. Ils avaient la chance de pouvoir prendre la barque de secours. Pendant qu’ils s’éloignaient le bateau coula au fond de l’océan.




Fatima



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait avec force. Les deux hommes se sentaient tout petits devant la mer. La tempête en colère emportait les vagues en diagonales. Elles frappaient la falaise. Les deux hommes paniquaient. L’eau grondait au pied de la falaise. La mer était épouvantable, horrible et terrifiante. Les deux hommes ne savaient pas comment rentrer. Les galets ne tenaient plus à leurs pieds. C’était épouvantable.



Benryene



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. Ils s’exclamaient devant cette tempête qui excitait les vagues. Les vagues attaquaient la falaise qui restait comme une statue. Le vent rugissait comme un lion qui voulait avaler la nature. La mer tueuse et verdâtre se précipitait sur les hommes. Les pêcheurs étaient effrayés. Ils avaient terriblement peur de mourir.



Emma



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer agitée et dangereuse fracassait la falaise. La tempête ressortait les vagues qui se dirigeaient vers les pêcheurs. Ils avaient tellement peur alors il décidèrent de rentrer mais la tempête était très forte et elle les emporta. Mais les deux hommes réussirent à s’en sortir après des efforts très intenses.



Enzo V.



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. Le vent poussait les vagues sur la falaise. Les deux hommes étaient effrayés et à la fois assourdis par le bruit que faisait la tempête. Et un homme alla voir plus près sur le sable doux. Tout à coup, les vagues agitées transportèrent l’homme jusqu’à la mort.



Léandre



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer semblait colère. Elle se fracassait contre la falaise. Ils étaient effrayés par la force de la tempête. La mer avec rage, grondait devant les hommes. L’odeur de la mer était atroce et intense. La tempête dangereuse emportait tout sur son passage. Le rugissement de la mer faisait peur aux hommes. Le vent soufflait avec fracas. Ils étaient terrifiés.



Nafaye



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. Les pêcheurs Jack et Arthur étaient paniqués en voyant cette énorme tempête qui allait les submerger. La mer avait tellement de force qu’elle frappait la falaise avec une violence incroyable. Mais celle-ci ne bougeait guère. Soudain, une haute et dangereuse vague verdâtre emporta la barque de Jack. Et quelques secondes plus tard, elle fracassa celle d’Arthur. Jack, inquiet qu’il se mette à pleuvoir rentra. Mais Arthur décida d’attender que la tempête se calme. Tout à coup, une vague de plusieurs mètres de haut submergea Arthur. Depuis ce jour, plus personne n’osait aller sur la plage.



Inès



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. Les hommes inquiets avaient peur que les vagues ne s’abattent sur la plage et qu’elles détruisent les maisons.
Le bruit des vagues qui se fracassaient sur les rochers était intense car le vent les poussait à la verticale. Sous sa force, les vagues faisaient des tourbillons.
Après une journée de fracas, les vagues se calmaient petit à petit et le temps redevint comme avant.



Suhaib



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer s’agitait en s’écrasant contre la falaise avec force et violence. Les deux hommes paniquaient devant cette épouvantable et atroce tempête. La falaise tenait face à cette horreur venue de nulle part.
Les deux hommes bloqués sur cette île n’avaient jamais vu de catastrophe semblable. En se promenant, les deux pêcheurs trouvèrent une barque et montèrent dedans pour s’abriter en attendant que la tempête s’arrête.



Suna



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. Les hautes vagues grondaient en
frappant la falaise. Ils avaient peur et étaient paniqués. Le vent fouettait le mer, intense, mordant et tueur. L’odeur était horrible. Le ciel noir était effrayant. L’écume éclaboussait les jeunes hommes. Ils  étaient paniqués, terrifiés. La mer lugubre claquait la dangereuse falaise avec violence. Le ciel était couvert de couleurs effroyables. Les hommes furent submergés sous la mer.



Hazar



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. Les vagues se fracassaient contre la falaise ave colère. Les deux pêcheurs étaient angoissés à l’idée d’aller naviguer sur l’océan. Le vent était tellement fort qu’on croyait entendre crier. La mer emportait tout ce qu’elle trouvait sur son passage. Les pêcheurs attendirent des heures et des heures mais rien ne changeait. Cette épouvantable tempête allait durer éternellement.




Marie-Léonne



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer était d’un gris profond. Les deux hommes étaient terrifiés devant tous les rugissements de la mer qui emportait tous les galets vers eux. Les nuages assombrissaient la plage. Le tonnerre retentissait vers leur barque. Le ciel resta immobile et soudain une énorme vague se leva et ravagea tout sur son passage. Les hommes épouvantés face à ce spectacle étaient paniqués à l’idée de mourir et de ne plus revoir leur famille. Enfin un moment de calme, soulagés, il décidèrent de rentrer rapidement chez eux.



Dayana



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer s’agitait de plus en plus. Elle était grise et violente. Elle était très dangereuse pour aller pêcher. Les deux hommes étaient effrayés par les vagues violentes. Il ne pouvait pas aller pêcher car es vagues étaient fortes.



Imen



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La colère du ciel, agité, dangereux, arrivait au loin. Le vent soufflait. Les hommes perdaient l’équilibre. Les flots sautaient à droite à gauche.



Farès



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. Les vagues s’éclataient devant les hommes. L’écume était aussi blanche que les nuages. Les hommes terrifiés pensaient que leur équipage s’était éclaté contre la falaise. Le vent grondait comme un lion. Ses rugissements faisaient trembler les hommes.



Ziene



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer s’agitait avec rage et frappaient la falaise haute et dangereuse.



Canan



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. Le vent agressif comme un voleur s’affalait sur les vagues. A leur tour, les vagues frappaient les rochers. Une pierre tomba sur le bateau. Les hommes étaient coincés entre les rochers et la tempête. Les deux pêcheurs étaient terrorisés. Les deux pensaient qu’ils allaient se noyer et leur vie se terminer.




Angel



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait sur la mer déchaînée. Les hautes vagues se fracassaient sur la plage. Alors les deux pêcheurs terrifiés jetèrent leur canne à l’eau et courir chez eux. La mer se déchaînait toujours, monstrueuse.



Sahra




Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer était tourmentée. Les vagues couvertes d’écume éclataient dans un bruit assourdissant. Les pêcheurs terrifiés observaient la falaise immobile devant les hautes vagues couleurs  de plomb. L’odeur intense des algues parfumait la mer. Un tourbillon violent se leva. Les deux hommes épouvantés essayaient de s’enfuir, mais ce tourbillon infernal les rattrapa et les entraîna dans les profondeurs de l’océan. Les pêcheurs disparurent à jamais.



Moussa



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer était sombre, le vent intense, la mer violente. Les deux hommes effrayés, la mer agitée. L’eau noire et tourmentée  voulait emporter les deux hommes si fragiles.



Alice



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer noire s’écrasait sur les rochers, couvertes de rage et tourmentée. Elle se fracassait  contre la plage. Le vent agitait le ciel noir. Une terrible tempête grise et sombre se formait. La mer fouettait la plage avec tant de violence qu’elle emporta les deux hommes dans les eaux profondes de l’océan.



Adam



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer faisait rage. Elle détruisait tout sur son passage. Les deux hommes s’angoissaient face à la force de la mer. Les pêcheurs hypnotisés par le souffle du vent.



?



Les hommes regardaient avec angoisse la tempête qui se levait. La mer déchaînée fonçait sans relâche sur la falaise. Les hommes se sentaient impuissants face à cette menace. Chaque seconde, la tempête devenait plus puissante. Ils n’avaient jamais eu aussi peur de leur vie. Ils savaient que leur livraison était dans deux jours. Pendant ce temps, les vagues se fracassaient sur la falaise, le vent soufflait de plus en plus fort. La tempête jaillit et engloutit les hommes dans les profondeurs de la mer.