dimanche 26 juin 2016



L'exposition "tous pareils, tous différents" a pris place cette semaine. 

C'est l'occasion de féliciter les enfants de l'atelier photo pour leur investissement et leur sérieux. 

Merci au service culturel de la mairie de Rillieux pour les impressions en grand format, 

à la patience des enfants qui ont servi de modèle, 

aux maîtres, maîtresses et enfants qui ont remonté les manches lors de l'exposition 

et enfin aux spectateurs qui ont bravé la chaleur.  





Merci Daniel pour ce magnifique défilé aux couleurs du Brésil.
La batucada de Rillieux en ce jour de la fête de la musique.


 
Le 21 juin 2016 nous avons défilé dans les rues de Rillieux-la-Pape tout l'après midi . Après avoir joué de la musique , nous sommes partis à l'espace Baudelaire. Il y avait des musiciens qui chantaient sur la scène.


dimanche 19 juin 2016

Spectacle - les souvenirs de Poucet - classe des CM2

spectacle du petit poucet - classe des CP

Répétition générale





 
Photo de Enzo qui ne supporte pas la lumière . Enzo se protège les yeux de la lumière avec ses mains d' oiseau.
 
C'est la préparation du théatre pour les parents, pour qu'ils soient fiers de leur enfant. On s'est entraîné depuis 4 moi. On a répété sérieusement pour le spectacle jusqu'au 17 juin pour faire la surprise à nos parents.



lundi 13 juin 2016

Théâtre - les souvenirs du petit poucet - extraits

les passants de Daumier




Alice



La nuit tombait,  il faisait sombre, très noir . Je devais partir chez mes grands-parents car je n'avais pas les clés de ma maison. J’étais obligé de passer par un chemin le plus effrayant de ma ville «Le Cimetière » C'est ici , là, tous les jours j'avais peur . Mais je suis quand même allé …  Soudain ! Je me suis arrêté, mon cœur battait si fort que mes yeux n'arrivaient  plus à se refermer . Il y avait du brouillard et de la fumée. Quand soudain  je me suis retourné j'ai aperçu une silhouette blanche très net … C'était une petite fille ! Je me suis approché,  petit à petit. Je la suivait  et elle m’emmenait vers sa tombe. Je la regardais , elle me montrais  du doigt « Juliette Marita 1985-1989» Mais c'est moi !! Je sursauta et j’eus des frisson dans le dos .. Quand j'ai découvert que c’était Moi même j’ai failli tomber dans les pommes , mais je me suis retenue . Alors j'ai décidait  de partir et de ne plus revenir dans ce cimetière qui semblait  Hanté …

                                                                                                             

Khalil




Je passais devant un cimetière pour me rendre chez ma tante.  D'habitude j'allais avec mon père et  ma mère en carrosse mais là je ne pouvais pas car on devait passer sur la route. Soudain une main sortit du cimetière et m’attrapa .J’étais très inquiet. Dessus la brume, des yeux s’ouvraient t avec des regards agressifs. J'ai couru vers la sortie et tout d'un coup quelqu'un ferma le portail. Il me menaça un couteau, les poings serrés. Ils m’entourèrent et s’approchèrent de moi. L’un deux avait les jambes ouvertes. Derrière un trou menait à la sortie. J’ai glissé sous ses jambes, j’ai couru et je suis arrivé sur la tombe de mon grand-père.


Benryene




Je me promenais dans la forêt qui était recouverte par le brouillard. La nuit était sombre. Un loup hurla tellement fort que je tremblai de peur. Alors je me suis caché dans un buisson. Derrière moi, j’aperçus comme des yeux agressifs et froncés. J'ai couru très vite. J'avais l'impression d'être suivi. Je me suis caché dans une maison abandonnée.


Canan


C’était le  15 mars en 1953 quand je partais à l’école  et comme tous les matins, je passais devant le  cimetière qui était  toujours calme. Mais ce matin c’était différent il y avait du brouillard et des hommes habillés en noir,  toute en noir. J’avais très peur et là, j' ai  vu une femme  qui se cachait derrière une tombe. J'ai eu peur  de lui  demander ce qui se passait car elle était toute blanche. J’avais l’impression que c’était une âme. J'ai entendu un bruit bizarre et en plus je ne voyais rien à cause de la brume. Je  courais si vite que je suis tombé eu pied  d'un homme. J'ai levé la tête et  j'ai vu   cette silhouette effrayante. J'ai couru  mais  toutes les portes du cimetière se fermèrent d'un coup. Je n'avais plus  le temps   de partir.  Et  là,  j'ai vu une porte au loin. Je marchais vers la porte et là, j'entendis un bruit étrange. Je me retournai, quelqu'un poursuivait. J'ai crié de toutes mes forces mais personne ne vint m'aider. 


Emna



Il y a très longtemps mes amis et moi nous sommes partis dans une forêt sombre. Ensuite on s’est arrêté puis tout à coup on entendit un grincement. Mon ami Victor avait vu une silhouette. Nous l'avons suivi et on s’est retrouvé devant un cimetière. Il y avait  du vent et du brouillard puis on est rentré. Je tremblais de peur, on marchait de plus en plus. J'ai vu quelqu’un et  j'ai cru qu’il me suivait. J'avais très peur mais en fait  c’était ma mère qui nous cherchait.


Farès



J’étais au péri-scolaire. Je sortais de l'école. Je devais rentrer chez moi en passant par un cimetière.
Je n'ai pas eu le temps de faire mon 1er pas quand  j'ai vu une silhouette bougée. Les buissons bougeaient mais c'était que le début.


Fatima

Je marchais tranquillement  dans une ruelle soudain  j'ai entendu des bruits bizarres. La nuit tombait et j’avais très peur. Plus j'avançais, plus le brouillard me bloquait. Les buissons  faisaient du bruit des choses vacillaient toutes seules derrière moi. Ça me faisait peur. Je voyais des silhouettes qui bougeaient. Je couru mais je vis rien. Je ressentais  de la menace. Je courais de toutes mes forces mais la brume m’entourait. Des portes claquaient et grinçaient. La ruelle était beaucoup trop longue toute était noirâtres. L’orage  l’éclairait. Ca me faisait très peur,  j’avais des frissons dans le corps.                                                                                                                                                                                                                                                                                                   


Imen



Je me promenais dans un quartier désert quand il faisait froid et sombre , le brouillard était épais et j'avais très peur de passer devant le cimetière . Des personnes bizarres m'angoissaient ! Ils étaient habillés en noir . Le ciel était gris et légèrement bleu .  



 Inès

C’était un jour très nuageux je suis passée devant un cimetière j'avais très peur. Il pleuvait ,le vent fouettait les branches des arbres . La nuit tombait et il n’y avait pas un chat dehors . J’étais seule j'avais comme une impression que quelqu'un m'espionnait et que j'étais suivi . La peur au ventre m'a fait fuir à toute allure. Je transpirais et mon cœur battait très fort .Je me retournais sans arrêt ! J'ai vu qu'il n'y avait personne. Ouf! J’était sauvée !



Léandre



C'était la nuit tombée et  je devais passer devant le cimetière. J'avais peur de passer devant alors j'ai couru. Il faisait froid, je voyais plein de silhouettes. Ça me faisait très peur mais la boulangerie était encore loin. Quand je suis passé devant le cimetière, une porte s'est ouverte toute seule. Je me suis tourné: c'est là que j'ai vu une grande silhouette avec un chapeau pointue. J'ai ai couru, elle me poursuivait. J'ai atterri devant la porte de la boulangerie. J'ai entendu un bruit bizarre. Alors, j'ai crié. La porte de la boulangerie s'est ouvert toute seule. Je suis entré. La boulangère m’a demandé ce que je voulais, j'ai acheté du pain et je suis sorti mais là…


Dayana



Le 3 juin 1843 vers 23h30 moi et mes parents nous sommes partis nous promener avant de dormir c'était  déjà la nuit. J'étais  avec mon vélo je suis partie vraiment loin et il y avait du brouillard, de la pluie, il faisait très froid et noir. Je me suis retourné et ne vit plus mes parents. Devant moi il y avait un grand cimetière. Soudain  une voix m’appela ce n'était pas mes parents.  Elle ressemblait à  la voix de ma grand-mère qui est morte il y a 2 mois à  peu près. J’étais très inquiète de la disparition de mes parents et ma petite sœur Jacqueline. Après  10 minutes de recherche je marchais er puis j’ai retrouvé la place où je les avais quitté. Je les vis sur la route avec plein de sang sur toute la poussette. Ma petite sœur était renversée.  Les voitures passaient pour regarde ce qui se passait. Il y avait beaucoup de pompiers et des policiers… Au début j'ai pas cru j'ai commencé à pleurer .
Quelques jours plus tard des dames sont venues me récupérer pour me mettre dans un internat. Tous les jours je passais devant ce cimetière pour me souvenir de mes parents et de ma petite sœur j’étais très triste.


Enzo M.


Je  me promenais  dans un  lieu  terrifiant. Je   me  sentais  poursuivi  par  un  vampire   qui  se transformait   en   chauve-souris volante   toute   en    noire. Je me promenais   devant  une    église effrayante.

Enzo V.

Un jour je rentrais de l'école. Il faisait froid et nuit. J’avais des frissons. Et cinq minutes plus tard je passais devant un cimetière. Puis j'ai entendu des voix. Je me sentais menacé.  Puis j’ai couru un moment. Et tout d'un coup une ombre me sauta dessus. Je hurlai de toutes mes forces puis j'ai pris mon courage à deux mains. Et j'ai poussé l'ombre et j’ai couru jusqu'à chez moi.

Hazar

J'étais terrifié à l'idée de me promener seul dans la rue, pendant la nuit. J'ai rencontré é Victor, mon voisin. Lui c'était enfuit de chez lui. Puis il continua sa route. Je m'aventurais sur un chemin tortueux. Petit à petit, j'entrais dans l'obscurité et le brouillard. Au loin, il y avait une petite fille habillée en blanc et je me suis posé toutes ces questions: « Qui est-ce ?  Est-elle réel ? Est-ce celle qui s’est enfui de chez elle? ». Mais pas de réponse. J'avais peur. Alors j'essayais de reculer mais la sortie était de plus en plus loin. Alors, j'avançais et là, ça marchait ! J'entrais dans une maison. Et là je vis mes parents avec ma tante. C'est à ce moment-là que je me suis rendu compte que c'était le fruit de mon imagination.



Paollo


J'étais  au parc, il était  18h piles et je devais rentrer  chez moi. Mais je vis une maison cassé,  je ne l'avais  jamais vue auparavant. Il y  avait  des chauves-souris  qui volaient  autour la  maison. Des statues de  gargouille étaient penchées comme si elles voulaient m'attaquer. Je suis entré dans cette  maison en frissonnant. Le vent soufflait comme  si je ne devais pas entrer dans ce logis abandonné mais  j'étais courageux. Et juste au fond du couloir, j'ai vu un miroir,  j'ai repensé à ces histoires de dame blanche. Et tout à coup je vis  une clé au sol. Il y avait une porte noire comme la clef. C'était  la bonne. Et derrière  la porte se trouvaient un  bocal plein de globes oculaires, des squelettes  et   des couteaux plein de sang.  J'avais de plus en plus peur. Mais une fois sorti,  je me suis rappelé  que c'était le soir d’Halloween. C’était  peut-être mon imagination car  les  gargouilles étaient redevenues  vertes.

        
Nafaye


Ce soir-là je sortais du collège, j'avais étaé coller à cause de mes retards et comme nous étions en hiver il faisait déjà nuit. Pour arriver plus vite à la maison j'ai décidé de passer par le manoir hanté. A partir du moment où je suis passé devant le porte, j'ai entendu des cris, des hurlements et des grincements horribles. J'ai eu tellement peur que je suis parti en courant. Quelques minutes plus tard, j'ai cru voir une silhouette derrière moi alors là  j'avais compris que quelqu'un me suivait. Donc j'ai couru le plus vite que j'ai pu. Et tout à coup, un loup sauta sur moi j'ai crié le plus fort. J'avais cru ce jour-là que c’était mon dernier jour dans ce monde. Pendant que je criais je fermais les yeux en croyant que le loup me mordait mais je ne sentais rien. Alors j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai ouvert les yeux. Et là, le loup était en train de faire des câlins il me léchait le visage. C'était un bébé trop mignon. Et depuis ce jour  je vais le voir tout le temps en sortant du collège.     



Ziene



Hier soir dans une rue très sombre on ne voyait presque rien et  il était 22h55. Des bâtiments étaient cassés, je me promenais avec mes amis et on est passé devant des personnes plus âgées. Ils nous faisaient   très peur parce qu’ ils avaient les sourcils froncés et ils étaient habillé en noir.  Des oiseaux jaillirent et on sursauta.  Alors on a couru chez nous



Saba



Un jour je  rentrai de l'école mais ma classe était en retard donc j'ai dû prendre le chemin le plus court car ma tante allait venir. Je ne devais pas être en retard. Puis tout à coup j'ai entendu un sifflement qui m'avait fait peur. Chaque pas que je faisais une porte claquait. Tout au loin je vis une silhouette blanche c’était une fille. Elle était blonde et pieds nus. Il faisait sombre très sombre. J'ai couru très vite. Quand je fus  fatigué de courir je me suis arrêté. Je ne voyais plus la dame je voulais faire un pas quand j’entendis un cri. Je vis  une porte où il y avait marqué « fait un dernier pas et ta mort sera brutalé ». Je me suis arrêté et je me suis retourné. Une fille pleurait, elle  avait des clés dans dans sa main . Elle se leva et me les donna : « je ne veux pas mourir ». J’ai pris les clés et j'ai ouvert la porte et là j'ai vu un cimetière sous mes yeux. Puis j'ai fait demi tour.  


Sahra


En rentrant il fallait que je me focalise sur mon devoir de littérature sinon je pouvais dire au revoir à ce voyage que je désirais tant ! Papa m'avait dit que si j'avais de bonnes notes, je pourrais enfin aller en Angleterre. J'étais sur la  bonne voie, j'avais réussi tous mes contrôles mais je ne m'attendais pas à en avoir un en littérature. Je décidais de me mettre au travail ! Je me suis assise confortablement dans le jardin et je me rappelais de la photo que j'avais vu dans le grenier et je pourrais m'en inspirer je décidais d'aller la chercher. Je la trouvais dans un vieil album de Grand-mère la prit et retournai m'asseoir pour  regarder cette photo. Je commençai à réfléchir à quelle date ceci  c'était passé.  1910 surement,  je croyais que j’avais trouvé mon sujet.  



Suna




Il y a très longtemps, j'étais dans une forêt sombre. Un bruit passa vers moi.Puis , j' entendais des enfants qui criaient et disaient « maman où est-tu? » j 'eus très peur. Je voulais mes parents, soudain je vis un dédale, un monsieur que je ne voyais pas, il me parlait :

- petite fille je te dis que tu dois trouver la sortie de cette labyrinthe puis, il est parti.
- Monsieur, monsieur mais il y a du brouillard je vois rien.

Il n'a pas répondu. Tout à coup le vent souffla vers moi pour me faire tomber dans un grand trou et dans ce trou, il y avait plusieurs d'enfants qui criaient. Je pleurais sans rien faire, je ne voulais plus vivre et j'étais sous la pluie.


mardi 7 juin 2016

défi électricité -

Le défi du jour : Réaliser un montage qui allume l'ampoule quand le livre s'ouvre et qui l'éteigne quand on le referme.

Bravo au groupe d'Imen et Rayan qui a réussi et aux autres qui les ont inspirés.